Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est la pathologie endocrinienne la plus commune chez la femme en âge de procréer.
Il touche environ 5 à 10 % des femmes dans le monde, et moins de 50 % d’entre elles sont diagnostiquées.
Présent tout au long de la vie d’une femme, de la puberté à la post-ménopause, il affecte son corps dans sa globalité, et compromet son bien-être, tant sur le plan physique que psychologique.
Le SOPK s’exprime différemment chez chaque femme, et chacune d’entre elles est confrontée a sa propre mosaïque de symptômes, notamment des cycles menstruels irréguliers ou absents, l’infertilité, l’acné, l’hirsutisme, le surpoids ou l’obésité (plus de la moitié des patientes), les troubles digestifs, ou encore la dépression.
Il affecte significativement la femme dans son bien-être et la limite dans son quotidien, si bien qu’elle se trouve bien souvent trop découragée pour trouver la force d’agir.
Et comme si cela ne suffisait pas, les principaux moteurs du SOPK que sont la résistance à l’insuline, l’inflammation chronique et la fatigue surrénale génèrent des risques graves comme les maladies cardiovasculaires, le diabète de type II, les dysfonctionnements de la thyroïde ou encore les complications lors de la grossesse.
Que vous soyez une femme en prise avec le SOPK depuis de nombreuses années ou que vous veniez d’être diagnostiquée, ou encore que pensiez en être atteinte sans avoir encore pu le confirmer, sachez qu’à l’aide de certaines stratégies spécifiques, il est tout à fait possible de limiter voire d’inverser les symptômes du SOPK, et de reprendre le contrôle de ses hormones.
Pour y parvenir, le savoir est votre allié le plus précieux. C’est lui qui vous permettra de comprendre les mécanismes à l’oeuvre dans l’expression de ce syndrome est donc d’y faire face.
S’il y a une chose que j’ai apprise à mes dépens en tant que patiente, c’est que le temps du diagnostic est certainement le plus difficile. On se sent submergée et on ne sait pas par où commencer.
Pourquoi ai-je le SOPK? Comment interpréter mes symptômes? A qui devrais-je faire appel pour aller mieux? Quelles sont les premières mesures que je suis censée prendre?
L’absence d’information et d’accompagnement est propice aux faux pas et à la perte de temps.
C’est pourquoi j’ai créé un kit de premiers soins conçu pour vous aider à y voir plus clair et à répondre à toutes les questions que vous vous posez, et ce dès le moment du diagnostic.
Ce guide a été conçu pour les femmes atteintes du SOPK et leur entourage, afin qu’elles puissent s’informer convenablement, défendre leurs intérêts et obtenir les soins qu’elles méritent.
Il fera de vous une patiente avertie, à même de nouer un dialogue productif avec le corps médical, condition essentielle à une véritable convalescence.
C’est l’outil que j’aurais aimé avoir entre les mains lorsque j’ai moi-même été diagnostiquée.
Ce guide gratuit de 39 pages constitue votre point de départ pour reprendre le contrôle de votre corps et de vos hormones.
Pour obtenir votre kit de premiers soins, il suffit de remplir le formulaire qui figure en bas de page. Vous recevrez ensuite un email de ma part contenant un lien de téléchargement.
Voici ce que vous allez apprendre:
- Les symptômes du SOPK, ses risques à long terme, les techniques de diagnostic ainsi que sa typologie. En vous informant sur le SOPK, vous allez réduire votre marge d’erreur et vous donner les moyens de gérer efficacement vos symptômes.
- Les origines et les causes du SOPK. En répondant à la question « pourquoi suis-je sopk? », vous allez apprendre à mieux connaître voter pathologie, ce qui vous donnera davantage de sérénité pour la suite.
- Les premières mesures à prendre pour démarrer le réequilibrage de vos hormones. Qu’il s’agisse de faire face au diagnostic, ou de constituer votre « team » soignante, vous allez découvrir que bien vous entourer est une étape indispensable à toute entreprise d’inversion du SOPK.
- Les principaux leviers de guérison du SOPK. Maîtriser les principaux traitements du SOPK, qu’ils soient conventionnels ou holistiques, vous mettra en capacité de plaider pour les meilleurs soins médicaux possibles. De nombreux médecins manquent de connaissances sur le SOPK et tentent de traiter chaque symptôme séparément ou attribuent ces symptômes à d’autres facteurs. Assurez-vous d’obtenir le bon diagnostic.
Si vous avez une question ou un commentaire, laissez-les moi en bas de page ou envoyez-moi un message à l’adresse clara@lesnatives.fr.
Bonne lecture,
Clara