Bienvenue chez les Natives, un site dédié aux femmes et à leur équilibre hormonal.
POURQUOI LES NATIVES ?
Les problèmes ovulatoires et plus particulièrement, le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), sont les problèmes hormonaux et de fertilité les plus courants auxquels les femmes sont confrontées.
Le SOPK s’accompagne bien souvent d’un ensemble de symptômes désagréables tels que : acné, fatigue, mauvaise réponse au stress, hirsutisme, résistance à l’insuline, insomnie, fatigue surrénale ; et de risques associés tels que le diabète, la maladie de Hashimoto ou les maladies cardiovasculaires.
Aujourd’hui, le SOPK est encore largement sous-diagnostiqué et bien souvent, les seules solutions proposées par le corps médical sont la pilule contraceptive et d’autres médicaments qui auront pour effet de masquer les symptômes sans en traiter la cause.
Et pourtant, il existe dans la littérature scientifique un consensus médical sur le fait que les modifications apportées au mode de vie et à l’alimentation de la patiente devraient être la thérapie de première intention pour tout diagnostic de SOPK.
Le constat : très peu de femmes obtiennent les informations et le soutien dont elles ont vraiment besoin pour maîtriser leur SOPK et reprendre le contrôle de leur santé.
Notre ambition chez Les Natives est donc de mettre à leur disposition les informations et données nécessaires pour effectuer les changements leur permettant de gérer avec succès les symptômes du SOPK, afin qu’elles puissent restaurer leur véritable équilibre hormonal et obtenir le meilleur de leur parcours de soins.
LES NATIVES C’EST QUI ?
Je m’appelle Clara et j’ai fondé Les Natives afin d’aider les femmes atteintes du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) à reprendre le contrôle de leur santé et à vivre leur meilleure vie possible.
Mon intérêt pour le sujet a débuté en 2018, lorsque j’ai été diagnostiquée.
J’avais présenté les symptômes classiques du SOPK depuis la fin de mon adolescence : ovaires d’aspect polykystique à l’échographie, hyperandrogénie, cycles irréguliers. Je n’ai pourtant été diagnostiquée qu’à l’âge de 31 ans, lorsque j’ai arrêté ma contraception et qu’une aménorrhée prolongée m’a poussée à consulter. Je mettais alors enfin un mot sur une multitude de symptômes gênants que j’avais expérimentés pendant de longues années sans vraiment savoir de quoi il s’agissait, ni quelle en était la cause. La solution que l’on m’a proposée ? Le renouvellement de ma pilule contraceptive et le recours à des stimulations ovariennes hormonales par injection le jour où je souhaiterais concevoir un enfant.
Il s’agit là d’un parcours assez classique pour une femme atteinte du SOPK. Le diagnostic n’est pas posé ou trop tard, les gynécologues se contentant bien souvent d’indiquer que les ovaires sont paresseux ou les ovulations capricieuses. Les traitements proposés n’ont vocation qu’à camoufler les symptômes ou à provoquer des ovulations qui ne se produisent plus naturellement ou de façon trop irrégulière.
J’ai alors décidé d’adopter une attitude proactive en m’informant sur ce syndrome méconnu. Pendant d’innombrables heures, j’ai lu tous les articles et revues scientifiques que je pouvais trouver en ligne, et plusieurs livres sur le sujet. Avec l’aide de mon médecin généraliste et l’accompagnement de la médecine non conventionnelle (naturopathie, micronutrition, acupuncture, shiatsu), j’ai commencé à mettre en œuvre les stratégies et solutions apprises au gré de mes lectures puis progressivement, j’ai trouvé un équilibre et inversé mes symptômes.
En fondant Les Natives, j’ai le souhait de mettre les connaissances que j’ai acquises à votre disposition pour que vous puissiez initier les changements qui vous permettront de gérer au mieux votre SOPK, et de reprendre le contrôle de vos hormones, en me focalisant sur des données probantes et la délivrance d’une information fiable et accessible.